Ça y est c'est le grand jour !
Onirym franchit les portes de la cité. Il est de retour. Déjà, de loin il a été soulagé de voir que la cité est encore debout !
Pas d'incendie, pas d'inondation ... Après tout, qu'est ce qui aurait bien pu se passer ? Ce ne sont pas quelques clés volées qui auront raison de la belle cité !
Il remonte la rue principale, et se dirige vers le palais.
Les gardes, assoupis, le laissent passer sans même le reconnaître ou essayer de l'arrêter. Il faudra qu'il en parle à Garmir, les gardes du palais sont vraiment des grosses faignasses ! Ca fait pas sérieux !
Il se dirige vers la salle des pas perdus, là où tout le monde se réunit en attendant une audience ...
Le palais est toujours debout lui aussi ! tout semble aller pour le mieux, le voilà soulagé...
Au détour d'un couloir il croise Pépette.
Onirym : ma chère Pépette comment vas-tu ?
Pépette (surprise) : Sir vous êtes ici ? Depuis quand êtes vous rentré ?
Onirym : je viens d'arriver, je suis passé par la salle des audiences, j'ai vu Sir Robert en train de pleurer ...
Pépette : le pauvre, il gère pas la pression vous savez.
Onirym : et cette histoire de clé ça a donné quoi ?
Pépette : oh pas grand chose ... Ni plus ni moins, les choses se sont arrangées toutes seules ... Voila voila ...
Onirym : ok mais on sait qui c'était ? et pourquoi a-t-il fait ça ?
Pépette : non et c'est bien là ce qui chagrine notre cher Robert ...
Onirym : ok ok on va pas l'affliger plus que ça. N'en parlons plus alors ...
Peux-tu me faire monter de quoi me restaurer et me préparer un bain ?
Pépette : ok Sir, je vous prépare tout ça et sans oublier votre canard jaune en plastique !
Onirym : mais c'est pas vrai !!!! A peine rentré que déjà tu m'......