Individu : ha mais ne me touchez pas, j’ai appris les arts martiaux ! Je peux vous filer un coup de sabot dans les bijoux de famille qui vous les feront remonter jusqu’aux oreilles !
Garmir : vous vous adressez à un chevalier ! Ce genre de frivolité n’a pas court en ces lieux ! Et vous puez le bouc !
individu : mais il me cherche lui !
Onirym s’approche rapidement pour prendre les choses en main et calmer la situation : Capitaine Garmir je suis là, laissez moi faire !
Garmir : Chevalier s’il vous plaît ! Plus Capitaine …
Onirym : ha oui c’est vrai, chevalier Garmir, merci pour votre preste intervention, laissez moi faire maintenant …
Garmir se recule et s'adressant aux gardes : embrochez moi ces deux biquettes si elles font le moindre geste menaçant envers notre seigneur Onirym !
Face à lui Onirym voit un satyre, et une dryade … Enfin ça y ressemble beaucoup, d’après les descriptions que Deds73 à pu lui en faire …
Onirym : je vous écoute, je suis le Seigneur Onirym et vous avez demandé à me voir ?
Satyre : oui bonjour, je suis Percifon et voici ma douce et tendre Griselda ! Deds73 nous avait dit que nous pourrions trouver refuge ici dans votre domaine … Et nous avons de bien sinistres nouvelles à vous apprendre …
Onirym : et bien voilà qui ne changera pas beaucoup de l’atmosphère ambiante … Suivez-moi, nous allons nous installer dans un salon pour discuter. Vous êtes les bienvenus dans mon palais. Deds73 m’avait prévenu que vous pourriez venir. Je suis désolé de l’altercation avec mon Capitaine …
Percifon : il est plus chevalier ?
Onirym : si vous avez raison. C’est tout nouveau, je ne suis pas encore habitué.
Onirym conduit ces invités dans un salon. Il demande à des domestiques de leur faire préparer des appartements et d’apporter de la nourriture et du vin … Il demande également à un garde d’aller chercher Lucy.
Pendant tout ce temps Onirym remarque que la dryade a les yeux rivés sur lui, ne le quittant pas un instant du regard ! Cette insistance est assez gênante … Il la regarde du coin de l'œil, se demandant ce qu’elle lui trouve pour le regarder comme ça … Surtout avec son satyre de mari à côté …
Griselda rompt le silence la première : Sir Onirym puis-je vous poser une question ?
Onirym : si cela a un rapport avec la manière insistante que vous avez de me regarder je veux bien comprendre !
Griselda : avez vous eu des peines de cœur dernièrement ?
Onirym : pas vraiment mais enfin disons que oui mon coeur est triste, depuis longtemps, et j’ai quelques soucis ces derniers temps de ce côté là … Et je ne parle même pas des soucis liés au Dieu Sombre …
Puis-je vous demander pourquoi vous me demandez cela ?
Griselda : nous autres Dryades sommes très sensibles aux sentiments humains … Et je n’ai jamais vu un cœur dans votre état … Il est en train de sécher, telle une fleur sans eau … Vous devez en prendre grand soin ou les conséquences pourraient être terribles pour vous …