Il arme son arc, vise un gobelin et tire. La peau verte tombe, raide morte.
Onirym se déplace, saute derrière un autre buisson, il arme son arc, vise et tire ! Un second gobelin tombe, mort.
Les gobelins remarquent se qui se passe. Leurs cris d'excitation se transforment en cris d'alarme …
Deux autres gobelins tombent, une flèche figée dans leur poitrine.
Un gobelin a l’air plus cruel que les autres prend les choses en main, il donne rapidement des ordres, et les gobelins s’écartent par petits groupes, direction la lisière de la clairière. Ils essayent de le repérer et de le prendre à revers.
Onirym grimpe dans un arbre et attend. Un groupe de trois gobelins passent en dessous de lui.
Il saute, épée au clair et les réduits au silence.
Les gobelins survivants prennent peur et s’enfuient dans tous les sens.
Heureusement parce qu’Onirym ne sait pas s'il aurait pu tenir à se rythme encore longtemps …
Il pense : peut-être sont-ils allés chercher des renforts ? Faut pas trainer dans le coin !
Il s'apprête à s’enfoncer dans la forêt quand il se souvient pourquoi il a fait tout ça : ah oui c’est vrai ! La demoiselle …
Il s’avance prudemment dans la clairière et arrive au milieu, où il voit une corps, une enfant peut être, aux longs cheveux violets, la peau claire … Non ce n’est pas une enfant, elle a un corps de femme malgré sa taille réduite, et surtout de grandes ailes chatoyantes dans le dos …
Onirym : flûte alors ! Un gros papillon avec des seins.
La créature lève ses yeux remplis de larmes vers Onirym et murmure : merci de m’avoir sauvé … Je ne suis pas un papillon, je suis une fée. Je m’appelle Pépette.